• http://i28.lulzimg.com/fc7d1f1365.jpg

    https://www.myspace.com/johnzorn


    Origine du Groupe : North America
    Style : Jazz
    Sortie : 2011

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    By Tim  from http://jazzandblues.blogspot.fr

    When I was in college I had to take one humanities class to fulfill a requirement for graduation. I took a class on the visionary poet and engraver William Blake. I found it fascinating, although I admit that some of his more complex later works were a bit beyond me. Blake's work has had an effect on composer John Zorn as well, and he put together this suite performed by John Medeski on piano and organ, Kenny Wollesen on vibes, Trevor Dunn on bass and Joey Baron on drums. The music takes on a mystical and hypnotic feel, perfect for someone like Blake who claimed to see visions throughout his life. The most evocative pieces on the album for me were "A Dream of Nine Nights" and "Dance of Albion." The first opens with delicate piano, developing a spritely air with vibes probing and the whole improvisation anchored by strong loping and elastic bass and deeply rippling piano. The latter has a feel akin to Zorn's The Dreamers project with Medeski developing a repetitive piano riff, working dexterously, before cycling into a strong and ominous section, like dark clouds gathering on the horizon. "Liber XV" is evocative as well, with Medeski shifting to organ, and Wollesen playing dampened sounding vibes. Rattling drumwork adds to the eerie feel of the music. This music sheds light on Zorn as a composer, and it is interesting how he takes inspiration from different and diverse sources and communicates them to his fellow musicians.


    Tracklist :
    1 Eternals
    2 Song of Innocence
    3 Dream of Nine Nights
    4 Light Forms
    5 Aeons
    6 Liber XV
    7 Dance of Albion
    8 Song of Experience

     


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  • http://i.imgur.com/rgk7o.jpg

    http://input.bandcamp.com
    http://www.facebook.com/InputHipHop


    Origine du Groupe : North America
    Style : Abstract Hip Hop
    Sortie : 2011

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    Tracklist :
    01. This Will Go Away
    02. Left For Dead
    03. Never Had Much To Say
    04. Eyes Of The Storm
    05. Lonely World
    06. Voices Within
    07. Snapshot Bulletins
    08. Organ Donor
    09. Ours
    10. HappYness
    11. Gods Of Misfortune
    12. Backfire
    13. That Love Song
    14. Neck Break
    15. From Me To You


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  • http://static.blogotheque.net/wp-content/thumbnails/uploads/2012/05/Brad626-626x401.jpg

    http://thecharlesbradley.com
    http://www.myspace.com/charlesbradleymusic


    Origine du Groupe : North America
    Style : Soul Blues
    Sortie : 2012
    Durée 00:53:06

    hd dvd rw

     

    Par http://liveweb.arte.tv

    Coupe afro seventies, blouson de cuir à même la peau ou col pelle à tarte ouvert sur une chaîne en or qui brille : chez Charles Bradley, il n’y a pas que la musique qui vit dans le passé. Et c’est tant mieux. Comme Sharon Jones ou Naomi Shelton, cette autre grande voix de la soul a su attendre son heure. C’est le label new-yorkais Daptone Records, avec ses Reborn Soulmen, qui lui a permis de sortir son premier album en 2011. A 62 ans.

    Sur la scène de la Cigale, accompagné de ses musiciens, ses « extraordinaires » en français dans le texte, sa voix éraillée trahit le nombre des années et de litres d’alcool avalés. Sa soul, elle, est intacte. Elle navigue entre la langueur du vieux prêcheur et l’allant d’un afro-beat soutenu de cuivres et de chœurs. Si son talent s’est développé dans l’ombre tutélaire de James Brown, dont il a longtemps joué les sosies, il apparaît aujourd’hui comme le fier filleul du Godfather of soul.


    • Artistes : William Aukstik, Charles Bradley, Thomas Brenneck, Vincent Chiarito, Michael Deller, Tony Jarvis, Carlos Sanchez • Réalisateur : David Ctiborsky • Cadreurs : Marion Boutin, Hugo de Castelbajac, David Ctiborsky, Elie Girard, Jérémie Vial • Son : Jean-Baptiste Aubonnet, François Clos • Production : La blogothèque - Supermouche


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  • http://2.bp.blogspot.com/-AwEXx5nr2dc/T5VhkzP9KqI/AAAAAAAADrw/RE2p_9zBKe4/s1600/num%C3%A9risation0017.jpg

    http://www.sandrankake.com
    https://www.myspace.com/sandrankake


    Origine du Groupe : Cameroun , France
    Style : Alternative , Soul
    Sortie : 2012

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    By Saab  pour http://withmusicinmymind.blogspot.fr


    Au-delà de toutes catégorisation musicale, Sandra Nkaké est une Reine, sa présence charismatique, sa voix de velours d'une puissance redoutable, sa spontanéité, son franc-parler sont quelques-unes de ses nombreuses qualités. Elle avait époustouflé tout le monde au travers de Mansaadi (2008). Ses multiples influences francophones, anglophones ou camerounaises cohabitaient de façon incroyablement harmonieuse sur ce premier Lp détonnant et étonnant à tous points de vue. Elle émerveille, elle fait grincer des dents, c'est le tribu des grands artistes. En attendant, cette artiste à multiples facettes fait du théâtre, écrit sans relâche et s'avère une véritable performeuse sur scène, etc. La liste n'étant pas exhaustive, l'avenir de Sandra Nkaké semble plus radieux que jamais malgré le fait qu'elle doit batailler tous les jours pour vivre de son art, garder son indépendance artistique, ne pas céder aux sirènes du formatage et une fois de plus, on peut affirmer que c'est le tribu des plus grands.

    L'univers protéiforme de Sandra Nkaké s'avère d'une richesse étourdissante, elle semble tout maîtrisé et a créé la surprise en reprenant Candy Says des Velvet Underground il y a quelques mois peu avant la sortie de son second opus Nothing For Granted en mars 2012. Et même si cette reprise ne figure par sur le nouveau disque, il reste une avant-goût des plus appréciables. Non, Sandra Nkaké ne fait pas que de la soul, non, à l'image de sa consoeur d'Outre Atlantique Janelle Monae, sa culture musicale ne possède ni limites, ni frontières, ni tabous : elle passe de la soul au rock au jazz en papillonnant avec le jazz, le reggae, le funk et la pop en un battement de cil. Encore plus intéressant que les styles musicaux qu'elle emprunte comme des costumes, l'intérêt de ce nouvel opus réside dans l'acuité de son écriture, la magnificence de cette voix fantastique, dans sa façon d'occuper l'espace en tant qu'artiste habitée et passionnée. D'ailleurs, si l'on compare le caractère entier de la française à la frilosité des reines de la soul américaine (les dernières oeuvres de Jill Scott, Mary J. Blige, etc.), Sandra Nkaké remporte haut la main la mise : son authenticité et sa créativité font la différence et la rende unique et si précieuse.

    Ce sont de l'individu et de sa liberté qui font battre le coeur de Nothing For Granted, faire abstraction des préjugés, preuve de tolérance et d'humanité, suivre sa voie et surmonter les obstacles sont une fois de plus des sujets essentiels qui tiennent à coeur à la musicienne et elle utilise des personnages atypiques (enfants, junkies etc.) pour faire passer le message d'une façon surréaliste et débridée. L'opus cette fois-ci chanté exclusivement en anglais se partage entre morceaux doux amers et de véritables bombes énergiques, agressives, interpellantes. Cependant, même quand elle nous caresse avec sa voix soyeusement rauque, on se prend toujours une claque : que ce soit sur le défaitiste Always Stay The Same ou sur l'instrumentation rêveuse de Same Reality, Sandra Nkaké possède une force narratrice d'une intensité telle que l'on s'y croirait. Le morceau pop / hip hop Like A Buffalo, premier single de l'opus, est totalement addictif que cela soit dans sa rythmique dansante, son refrain entêtant ou dans le rôle de composition de Sandra Nkaké.

    La ballade tarantinesquement bluesy Show Me Heaven n'est pas sans procurer quelques frissons grâce à sa chaleur nocturne mais l'album retrouve vite une tournure plus aiguisée sur les sonorités urbaines et vintage de Toc Toc Toc. L'artiste ensuite se pare des habits d'une petite fille qui espionne les conversations des adultes avec malice avant de reprendre du poil de la bête sur le superbement funky et engagé Mankind. Le titre éponyme Nothing For Granted, de la même façon que Show Me Heaven, cajole et enrôle l'auditeur au son de la smooky voice de Sandra Nkaké. Loin d'être une fan de reggae, je ne peux que m'incliner devant Rock It Better qui lorgne vers le côté roots et dubstep, genre glorifié par le grand Bim Sherman. You'd Better Dance met un coup de pied dans la fourmilière sur des sonorités soul/rock et nous entraîne dans un western spaghetti entrant en collision avec un film de blaxploitation sur l'agité Skeletone avant de clôre sur le spirituel et sublime morceau qu'est No More Trouble.

    Un second opus plus que réussi pour cette soulwoman qui ne connaît aucune frontière artistique qu'elle n'est capable de repousser. Un must have absolu de 2012, une gifle pour la plupart des artistes féminines qui se prétendent soul mais qui font en réalité de la variété.


    Sandra Nkake - vocals, clavinet (12)
    Jî Drû - flute, clavinet, percussion
    Matthieu Ouaki - guitar
    Antoine Berjeaut - trumpet, bugle
    Christophe Minck - bass
    Julien Tekeyan - drums, shaker


    Tracklist :
    01. Always the Same
    02. Same Reality
    03. Like a Buffalo
    04. Show Me the Way
    05. Toc Toc Toc
    06. Conversation)
    07. Mankind
    08. Nothing for Granted
    09. Rock it Better
    10. You'd Better Dance
    11. Skeletone
    12. No More Trouble
    13. Unlucky Joe (bonustrack)
    14. Candy Says (bonustrack)

     


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  • http://www.deejays.net/data/media/16/PFLbluedubsessions.jpg

    https://www.myspace.com
    http://www.last.fm


    Origine du Groupe : Germany , U.K
    Style : Electro Dub , Downtempo
    Sortie : 2003

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    From http://www.last.fm

    PFL (Pre Fade Listening) are a downtempo electronica act, half-based in Hannover, Germany and London, UK.

    Formed in 2003 by producer Felix Wolter as a platform to work song-dependant with different singers, PFL released their debut album Blue Dub Sessions Pt.1 only a few months later on british label Elektrolux.

    With several tracks of the album licensed for compilations, featured on radio programs and extensively used in the German cult-tv-night-show Spacenight, the name PFL became quickly established as one of the finest in downtempo electronica.

    Work on the follow up to BDS Pt.1 started in 2006 and halfway through the process of writing and recording new material, Wolter teamed up with London-based guitarist / programmer Jake Paland who added another, more song orientated angle to the sound and together with Wolter now made up the core of PFL.

    Something To Say, their critically acclaimed second album, was released in 2007. Featuring guest appearances by vocalists Julia Messenger, Valeska Jakobowicz and Betty La Gachette.


    Tracklist :
    01. Win D.U.B. [04:20]
    02. For The Love Of You [06:27]
    03. Telephone Girl [04:56]
    04. Bird On A Wire [04:30]
    05. Mohinis Dub [05:01]
    06. Tears Running Dry (Remix) [04:04]
    07. Live Good Version [05:13]
    08. Airwalk [05:02]
    09. The Foodnezz (Frequenztaucher.Remix) [05:01]
    10. Gypsy Faith [06:28]
    11. Restoration Dub [05:16]
    12. Set In Stone [06:29]


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